La gestion des espèces végétales invasives à La Réunion
Sur l’île de La Réunion, on est en train d’assister à la montée problématique de plusieurs espèces végétales invasives. Pour la plupart introduites par l’homme, ces dernières ont un impact négatif sur l’écosystème de l’île, menaçant la biodiversité native. Pour stopper leurs impacts, des efforts de gestion sont déployés à La Réunion pour limiter la propagation des espèces invasives et restaurer les écosystèmes naturels.
Le mot d’ordre : surveiller et éradiquer
Parmi les espèces végétales invasives qui se trouvent actuellement à La Réunion, il y a le galabert, le choca vert, la liane papillon et l’avocat marron (qui n’est pas comestible malgré son nom). À La Réunion, des programmes de surveillance sont mis en place pour détecter rapidement les nouvelles introductions et suivre la propagation des espèces invasives existantes. Lorsqu’une espèce invasive est identifiée, des actions d’éradication sont souvent entreprises pour limiter sa population et son impact sur l’environnement.
Des programmes de sensibilisation organisés régulièrement
La sensibilisation du public et des acteurs locaux est un élément clé de la gestion des espèces invasives à La Réunion. Des campagnes de sensibilisation sont menées pour informer sur les risques associés aux espèces invasives et promouvoir de bonnes pratiques, telles que le contrôle des animaux de compagnie et l’élimination appropriée des déchets.


